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Rien ne laissait présager du
destin hors du commun de Demetrien, simple négociant en épices, lorsqu’il
rencontra la magicienne Sokoura. Ni l’un ni l’autre ne pouvaient savoir
qu’ils étaient les deux premières pièces d’un puzzle composant une fresque
fabuleuse — une fresque mettant en scène rien moins que la fin de la
Quatrième Ère. Avec leurs compagnons glanés au cours de leur épopée —
humains, mais aussi trolques et homules —, ils vont écrire ensemble le
premier épisode du plus grand changement que le monde de Wethrïn aura
jamais connu… Un changement qui, selon toute probabilité, sera fatal à
l’une des trois espèces qui le peuplent. Devant un tel enjeu, les huluths,
ces puissantes assemblées de sorciers, feront leur possible pour assister
le petit groupe… ou pour l’anéantir par n’importe quel moyen, quitte à en
appeler à l’un des monstres des Cavernes Froides.
D’inspiration résolument
orientale, le monde de Wethrïn est le cadre d’une fantasy atypique et
véritablement dépaysante. Laurent Genefort promène Alaet, son personnage
fétiche, entre les palais des Califes et les ruelles des Souks depuis une
dizaine de romans pour lecteurs de tous âges. Le voleur de Karnab, mélange
de Cugel et de Sinbad le marin, est ainsi devenu un personnage
incontournable de la jeune fantasy francophone, laissant son souvenir à
quiconque partage l’une de ses aventures… C’est tout particulièrement vrai
dans « les Ères de Wethrïn », où notre héros, mêlé à une quête dont il se
soucie peu, se verra en définitive contraint de déployer des trésors de
ruse et d’habileté pour en surmonter les épreuves.
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